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L'article du "d'Lëtzebuerger Land" du 19 janvier 2024 révèle une analyse approfondie de la plateforme d'investissement Crypto4Winners, qui promet des rendements exceptionnellement élevés sur les investissements en crypto-monnaies telles que Bitcoin et Ethereum. La société, qui ne gère que des cryptomonnaies et ne touche pas au cash, suscite l'admiration pour ses rendements promis mais aussi la méfiance quant à sa légitimité et sa transparence. Les autorités financières européennes ont mis en garde contre les risques de publicités trompeuses, particulièrement celles offrant des rendements rapides ou élevés qui semblent trop beaux pour être vrais. Adrien Castellani, à la tête de Crypto4Winners, insiste sur le fait que la plateforme, enregistrée en Suède, ne communique pas en dehors de ce pays et que la majorité de ses clients ne sont pas européens. La société mère, C4Wave, est aussi entourée de controverses, notamment concernant sa transparence et l'identité de certains actionnaires clés comme Luc Schiltz, un individu précédemment condamné pour escroquerie. L'article souligne l'importance de la sécurité dans la gestion des crypto-monnaies et mentionne les mesures prises par C4W pour protéger les investissements, bien que des doutes subsistent quant à la viabilité et à la sécurité de tels investissements dans un domaine peu réglementé.

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Un fonds d'investissement en crypto-monnaies, affirmant avoir triplé l'argent de ses investisseurs, est co-détenu et opéré par Luc Schiltz, un fraudeur condamné au Luxembourg. Avec plus de 4 000 clients, le fonds vante un retour mensuel constant sur les investissements depuis cinq ans. Toutefois, une enquête a révélé ses liens avec Schiltz, précédemment condamné à six ans de prison pour fraude financière et autres délits. Malgré ses prétentions de rendements élevés, l'implication de Schiltz et le manque de transparence de la firme soulèvent des inquiétudes. Les documents confirment que Schiltz est un partenaire général dans l'entreprise Crypto4Winners, qui ne mentionne nulle part sur son site web son rôle ou sa propriété. Cette découverte, ainsi que les pratiques opaques du fonds, mettent en lumière les risques associés à l'investissement dans des plateformes peu claires, malgré les promesses de profits importants.

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Une arnaque présumée impliquant la plateforme Crypto4winners (C4W), promettant de hauts rendements dans le monde des cryptomonnaies depuis le Luxembourg et la Suède, fait l'objet de perquisitions et d'arrestations suite aux révélations de malversations. C4W, dont l'un des propriétaires est Luc Schiltz, un fraudeur condamné, est suspectée d'être une escroquerie à hauteur de 100 millions d'euros touchant 4 000 clients. Promettant des rendements exceptionnels sans stratégie d'investissement claire, C4W suscite des doutes sur un possible schéma de Ponzi. Les autorités suédoises confirment l'absence de licence pour C4Wave Capital K.B., la société derrière C4W. Les investigations montrent que C4W redirigeait les fonds vers des bourses majeures, rendant difficile la traçabilité des actifs. Malgré les affirmations de transparence, les transactions récentes suggèrent des tentatives de liquider ou de masquer les actifs virtuels.

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Luc Schiltz, un Luxembourgeois déjà condamné en 2017 pour fraude, se retrouve au cœur d'une arnaque présumée à la cryptomonnaie estimée à 100 millions d'euros via la plateforme Crypto4Winners. Basée en Suède, cette plateforme est soupçonnée d'offrir des rendements extraordinaires sans bases solides, éveillant des craintes de schéma de Ponzi. Les activités douteuses de Crypto4Winners, et la présence de Schiltz, ont déclenché une série d'investigations révélant l'absence de transparence et de légitimité. Des perquisitions et arrestations ont suivi, confirmant les soupçons d'escroquerie et de blanchiment d'argent. Malgré les promesses alléchantes, les investisseurs expriment leur inquiétude et envisagent des recours juridiques pour récupérer leurs investissements.

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Au Luxembourg, une importante arnaque liée aux cryptomonnaies impliquant la société "Crypto4Winners" a conduit à la détention de deux personnes, comme annoncé par le parquet. Luc Schiltz, un escroc notoirement connu pour ses multiples fraudes, est au cœur de l'enquête. L'intérêt croissant pour les cryptomonnaies a également attiré les escrocs, menant à cette enquête centrée sur des activités frauduleuses et de blanchiment d'argent. Malgré des promesses de rendements conséquents pour attirer les investisseurs, les victimes n'ont jamais reçu ces rendements, et leurs investissements se sont évaporés. L'entreprise, qui a largement utilisé LinkedIn pour son démarchage et a constamment changé de gestion, s'est révélée n'être qu'une coquille vide. L'implication de Luc Schiltz, condamné en 2017 pour une escroquerie de 1,5 million d'euros, suscite davantage de soupçons. Alors que l'enquête se poursuit, les autorités invitent toute personne disposant d'informations à se manifester.

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L'affaire "Crypto4Winners" a secoué le Luxembourg, impliquant Luc Schiltz, un escroc récidiviste, et Adrien Castellani, tous deux placés en détention suite à une enquête pour escroquerie et blanchiment d'argent. Créée en 2019, la plateforme promettait des rendements mensuels de 3 à 20% sur les investissements en cryptomonnaies, mais s'est révélée être une vaste arnaque, laissant de nombreux investisseurs dans l'incertitude quant à la récupération de leurs fonds. Les tentatives de démarchage sur LinkedIn et les garanties promues n'ont mené qu'à une coquille vide, exposant l'ampleur de la fraude orchestrée depuis plusieurs pays. Malgré les premières alertes sur les réseaux sociaux, ce n'est que récemment que la justice a pris des mesures concrètes, suscitant des interrogations sur le rôle exact de Castellani dans cette affaire et la possibilité d'une négligence coupable.